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BASE FRANCAISE DE NIJRAB (Afghanistan), 31 déc 200 |
 Le ministre français de la Défense, Hervé Morin, a indiqué jeudi être "sans nouvelles de deux journalistes français de france 3" disparus depuis mercredi en Afghanistan, n'excluant "aucune hypothèse", sur la base française de Nijrab, au nord-est de Kaboul; ils ont été enlevés par des talibans d'aprés la police afghane

la  guerre continue et les occidentaux se voient de plus en plus embourber dans un conflit qui ne dit pas son nom et face à un ennemi qui malgré une infériorité militaire et logistique   continue  avec  acharnement à causer des pertes de plus en plus considérable dans les rangs des alliées

les USA et leurs alliés pour se sortir de cette situation vont être obliger d'engager plus de forces et de moyen dans la bataille ;d'ailleurs Barack Obama vient de montrer l'exemple à ses pairs en en voyant 30 000 soldats supplémentaires sur le terrain

3 accompagnateurs afghan on également disparus avec les 2 journalistes enlevés

les talibans affirment n'y être pour rien dans ces enlèvement et nient toute implication

"Nous ne sommes pas impliqués", a déclaré ce porte-parole, Zabihullah Mujahid, joint par téléphone et s'exprimant d'un lieu inconnu.
"Nous avons demandé à nos combattants de nous informer s'ils avaient fait quelque chose mais nous n'avons aucune information venant de cette zone", a-t-il ajouté.

source afp

Interrogé ce matin  sur Europe 1  le secrétaire général de l'Elysée, Claude Guéant, a déclaré que les journalistes de France 3, enlevés fin décembre, "sont en vie".


il a aussi confirmé l'agacement du président concernat  cette affaire qualifiant d' "imprudence vraiment coupable" le travail d'enquête des journalistes de France 3.

Guéant en rajoute même une couche: "Ils font courir des risques aussi à beaucoup de nos forces armées, qui du reste sont détournées de leurs missions principales."

Et d'évoquer le coût de cette opération de récupération des journalistes : "Cela a évidemment un coût tout à fait considérable, je me souviens que quelques jours seulement après leur disparition on évaluait déjà ce coût à un million d'euros."

Les propos de Claude Guéant ont provoqué la colère de la SNJ-CGT France télévisions. "Comment peut-on, trois semaines après la disparition de nos confrères, continuer de les accuser d'avoir fait leur métier", s'est indigné le syndicat, cité par Le Figaro.
 

Les journalistes auraient été enlevés par un groupe dirigé par un chef local taliban de la vallée d'Alasaï, l'un des districts de la province de Kapisa. Il contrôlerait une partie de ce district montagneux, où il s'est également opposé par les armes au Hezb-e-Islami, autre groupe radical islamiste de cette région. Les services français s'attendent à des exigences diverses, comprenant une demande d'échange de prisonniers talibans ou encore le versement d'argent contre la libération des deux otages.

Les autorités françaises ont reçu, samedi 23 janvier, à Kaboul, "des preuves de vie" concernant les deux journalistes français enlevés le 30 décembre dans la province de Kapisa, au nord de la capitale.

et rien concernant les 3 accompagnateur ?

Le gouvernement et France 3 ont confirmé dimanche 14 février être en possession d'une vidéo des deux journalistes français de la chaîne enlevés  en Afghanistan en décembre.
La vidéo aurait été tournée il y a trois semaines, montre les otages expliquant être bien traités et demandant au président Français d'accélérer le processus de négociation avec les ravisseurs


"France 3 diffusera deux capture d'écran floutées des journalistes dans son journal de 19h30, sans révéler leur identité"à déclaré à Europe 1  Paul Nahon, le directeur général adjoint de France 3.

le Quai d'Orsay demande la discrétion des médias pour ne pas compromettre leur sort