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Demain dimanche 10 janvier 2010, les habitants de Martinique et de Guyane seront amenés a voter et faire un choix: pour ou contre plus d'autonomie; donc  la possibilité pour eux ,via l'article 74 de la constitution , d'adapter les lois de la république à leur intérêt dans des secteurs comme, le logement, les transports l'aménagement du territoire , les taxes et impôts ou encore l'environnement
ou,comme le souhaite les partisans du "non" représentés en Martinique par les partis dit "nationaux" ps, modem , ump et le Parti progressiste martiniquais du  député-maire de Fort-de-France,Serge Letchimy  qui préfèrent  conserver le statut quo institutionnelle actuel en invoquant une aggravation du climat social et la perte des acquis sociaux.
Pour les partisans du "oui", que sont les formations indépendantistes ou autonomistes, c'est là l'occasion de prendre le train du développement économique en marche avec le reste de la Caraïbes et l'Amérique latine qui eux sont en pleine expansion.
D'après les sondages le non serait majoritaire en Martinique contrairement à la Guyane ou le scrutin s'annonce indécis
Si le « non » l'emporte, Guyanais et Martiniquais seront à nouveaux invités aux urnes, le 24 janvier, pour décider ou non de la mise en place d'une collectivité unique. Elle remplacerait alors la superposition existante département-région.

Dans tous les cas , une fois de plus une occasion se présente pour ces populations de prendre en mains leur destin ; même si il n' est pas ici question d'indépendance le résultat de ce vote montrera à la France et au Monde la volonté de ces peuples d'accéder ou pas a l'autodétermination

aléa jacta est

Le non massif des Guyanais et Martiniquais à l'autonomie accrue
A près de 70 %  en Guyane et 80 % en Martinique, les électeurs souhaitent rester soumis aux mêmes règles juridiques que la métropole.