Manuel Valls à s'est publiquement démarqué de ses concurrent socialistes à est en train de faire son buzz médiatique en assurant vouloir revenir sur les 35 heures, travailler plus pour gagner plus tout comme le disait Nicolas Sarkozy avant son élection à la tête du gouvernement français.
Alors que le chômage est la première préoccupation de 81 % des français (selon LCI), les 35 heures ont démontré leur impact dans la réduction du nombre de chômeurs et Nicolas Sarkozy lui même à renoncé à ne plus y toucher prétendant que les mesure d'exonération fiscale sur les heures supplémentaires rendaient les 35 heures obsolètes.
Même Jean François Copé le porte parole du gouvernement et haut personnage du gouvernement s'est vu recadré par d'autres membres de son parti lorsqu'il à fait savoir des intentions similaires et pourtant...
Un élu de gauche l'a proposé dans son programme au primaire de son parti.
L'affaire à peine commencé est déjà un véritable tollé médiatique pour le parti socialiste qui à porté cette réforme, notamment la première secrétaire du parti et candidate potentielle élections présidentielle Martine Aubry
Saisissant cette aubaine, un des portes paroles de l'UMP à publiquement appelé Manuel Valls à rejoindre l'UMP. L'histoire s'est déjà produite avec Eric Besson, qui à démontré que les ambitions personnelles d'une personne pouvait parfois surpasser ses convictions politiques.
"Avec la concurrence que nous connaissons,
Est ce que nous pouvons nous permette d'être des années 70, 80, 90 ?
Non !"
Ce grand virage à droite, était déjà défendu dans le livre de Manuel Valls (Sorti au mois de Mars), mais personne ne s'attendait à une telle discorde, à des différences internes aussi profondes qui sont d'habitudes les divergences de parti politiques au sein même du parti socialiste, déjà mis à mal par les positions de Dominique Strauss Khan, entres autres sur le dossier des retraites, et qui effritent l'unité socialiste souhaitée par Martine Aubry.