Tony
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« le: 06 Janvier 2010 à 00:14:14 » |
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Par Jacqueline Bousquet Biologiste, chercheur honoraire au CNRS
Après avoir lu certains livres de Sylvie Simon sur des sujets très divers et comme elle me semblait très préoccupée par l'état du monde et notamment par les dérives médicales, je lui ai demandé si elle aimerait dénoncer les méfaits de la médecine allopathique, lui promettant de lui fournir la documentation de base, de la mettre en relation avec des scientifiques et des médecins susceptibles de lui apporter les informations nécessaires. Totalement enthousiasmée par cette proposition elle s'est lancée à corps perdu sur ce sujet dont elle est rapidement devenue une spécialiste incontournable. "La Dictature médico-scientifique" a vu le jour quelques mois plus tard.
Je suis donc, aujourd'hui, totalement en phase avec les informations particulièrement pertinentes qu'elle apporte à un public de plus en plus inquiet et conscient de la nécessité de connaître la vérité dans un contexte saturé de propagande, de tricheries et d'impostures scientifiques. L'approche exclusivement matérialiste du vivant nous a conduits insidieusement à l'affaiblissement du potentiel vital de toutes les formes de vie sur la planète, voire leur disparition pure et simple, par effondrement des systèmes immunitaires, chez les humains, les animaux ou les végétaux. Ses différents ouvrages, tous particulièrement bien documentés, livrent au lecteur une somme considérable d'informations dispersées pour la plupart dans des publications peu diffusées, voire délibérément confisquées, pour les mettre à la disposition de ceux qui cherchent sincèrement en dehors des thèses officielles.
Ce livre, comme les précédents, apport les preuves scientifiques de l'inutilité et surtout de la dangerosité des vaccinations, dont les conséquences se font aussi sentir sur la descendance. L'imposture vaccinale, dont l'évidence ne saurait tarder à éclater au grand jour, n'aurait pu exister et surtout perdurer aussi longtemps, si les biologistes et même les médecins avaient quelques notions de physique. En effet, nous savons qu'à une fréquence (VIBRATION) correspond une forme (information), qu'une pathologie correspond à un affaiblissement des fréquences (fausses fréquences) donc à un changement de forme (d'où une fausse information) ceci pouvant aller jusqu'à la mort cellulaire.
Nous trouvons de nombreux virus, microbes ou bactéries là où des cellules meurent dans l'intestin, dans lequel circule le bol alimentaire, fruit de la destruction des formes issues de l'alimentation. Notons au passage que la flore intestinale ne sert pas à la digestion mais est la conséquence du catabolisme (ndlr : transformation des aliments ou autres éléments en énergie, vitamines et vibrations) qui détruit les formes pour en récupérer l'information, contrairement à ce qu'affirme la science officielle, grande spécialiste de ce type de méprises, qui prend régulièrement les conséquences pour les causes de ce qu'elle nomme « maladies ».
De la même façon, nous voyons bien avec ces notions, que les virus et autres prétendus prédateurs ne sont pas des agresseurs, mais des témoins de l'état du terrain du malade. Il est donc vain et antiscientifique de vouloir et prétendre « immuniser » dans ces conditions. Et, qui plus est, contre des protéines animales (celles contenues dans les vaccins) avec lesquelles nous ne serons jamais en contact puisque virus et microbes sont endogènes et propres à chaque individu, comme nos empreintes digitales, notre ADN et tous nos composants personnels qui varient en permanence en fonction de l'heure de la journée, de notre humeur, de notre environnement et des conditions de vie. Chaque être humain, animal ou végétal est unique. De plus, ces protéines étrangères injectées - acte d'une extrême barbarie si l'on y regarde de près - empêchant le système immunitaire de faire son travail puisque les barrières naturelles sont court-circuitées ou lésées par le procédé d'injection qui viole la barrière cutanée de l'individu.
Les nouveaux vaccins sont maintenant issus d'OGM et de produits de synthèse. Or le vivant ne reconnaît pas ces molécules et ne sait pas les traiter. Il en est de même des produits comme les métaux lourds (neurotoxiques) et le formol, entre autres « adjuvants » entrant dans leur composition. Ces poisons s'accumulent dans l'organisme au fil du temps et s'ajoutent à tous les autres polluants environnants. C'est une véritable hérésie que de ne pas en tenir compte et de faire croire aux populations qu'elles peuvent être « protégées » d'une quelconque pathologie - imaginaire de surcroît, nous venons de le démontrer - par le biais d'un acte aussi sauvage contenant des poisons aussi violents et comme si, par ailleurs, les cellules pouvaient remettre leur compteur à zéro le 31 décembre de chaque année.
Le système immunitaire est le bien le plus précieux de l'individu, le garant de sa personnalité. Prétendre le protéger au moyen d'une agression directe au mépris des lois de la nature est purement criminel. Le simple bon sens veut que le poison ne puisse être curatif, sauf en dilutions homéopathiques, dans des conditions bien précises. Nous comprenons mieux ainsi comment, n'étant pas contrôlées par le système immunitaire, ces protéines étrangères, peuvent perturber de nombreux ensembles cellulaires apportant des informations incompatibles avec l'hôte (franchissement des barrières d'espèce) provoquant les diverses pathologies décrites après les injections. Les vaccinations ne sont pas protectrices mais vectrices de maladies lesquelles, même si elles ne sont pas visibles immédiatement, peuvent se déclarer à moyen ou long terme, affectant la qualité de vie, la résistance au stress, ouvrant la porte à toutes les pathologies qui caractérisent notre époque et que l'on nomme « maladies de civilisation », en pleine expansion depuis que les vaccinations de masse ont été prodiguées.
La nature nous a dotés d'une capacité de régénérescence automatique qui s'organise à merveille dès que l'on cesse de l'en empêcher. Elle peut être stimulée le cas échéant par des traitements naturels, mais ne saurait en aucun cas fonctionner harmonieusement avec une médecine chimique obligatoirement iatrogène.
[extrait de la post-face du livre "Vaccins, Mensonges et Propagande" de Sylvie Simon, sorti en librairies le 24 septembre 2009]
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