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Malgré les déclaration et les explications de Fernand Koekelberg,chef de la police bruxelloises qui insistait dans la presse ces derniers jours  sur le fait que la criminalité à Bruxelles reste à un  niveau normal pour une grande ville ; les chiffres ne sont pas pour autant rassurant avec une hausse des attaques à main armée de plus de 20% entre 2007 et 2009

et les récent événement violents qui n'implique plus seulement des commerçants ou des bijoutiers mais  dont sont maintenant victimes les eurodéputés notamment l'allemande Angelika Niebler qui, le soir du 18 septembre dernier, fut violemment agressée rue Stévin par des voleurs n'ont fait que raviver le sentiment d'insécurité au sein de la population
 
Le débat sur l'insécurité fait la une de la presse belge francophone après que, le 12 avril, deux bijouteries de Bruxelles ont été la cible de hold-up au cours desquels deux personnes ont été tuées. "Des bandes estoniennes se sont spécialisées dans le braquage des bijouteries, en utilisant de plus en plus souvent des armes à feu", constate le quotidien bruxellois. Qui accuse en éditorial : "L'Europe a libéré la circulation des personnes et des biens. Même de celles les plus malintentionnées et de ceux bien mal acquis."