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 Le Premier ministre grec persiste et signe pour l'organisation d'un référendum début 2012. pour demander au peuple grec si il est d'accord pour l'application d'un plan de rigueur
semant ainsi la panique dans tous les grandes place boursières mondiales, en effet les  investisseurs redoutent désormais un défaut de paiement de la dette grecque.

cette décision inattendue  du premier ministre Papandréou à 48 h du G 20 a d'ailleurs aussi sensiblement énervé Nicolas Sarkozy et Angela Merkel qui nous présentais en sauveur de l'Europe en fin de semaine dernière "LEUR" plan de sauvetage à la Grèce, voté jeudi dernier par les dirigeants européens;
et l’Élysée se verrait bien dicter a la Grèce les termes de ce référendum , d’après un de ses conseillers : la question posée au référendum doit être «responsable». «Ils ne peuvent pas demander aux Grecs s'ils acceptent un nouveau plan de ri­gueur, parce qu'ils vont forcément dire non», explique un proche du président. «Il faut qu'ils demandent aux Grecs s'ils veulent rester dans la zone euro»